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28/01/2014

Commentaires

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je pense au contraire AP , que la photographie même si elle a une dimension mélancolique d'un instant passé et du coté de la vie , du mouvement, un acte avec des émotions du mouvement.
Il semblerait que la photographie permet de la transcender.

En toutes choses c'est la mort qui finit.
Une seule issue la disparition.
Mais comme l'océan est fait de vagues qui disparaissent les unes après les autres, nos souvenirs se construisent avec ces images, bonnes ou mauvaises, peu importe.
Fixes ou animées elles sont les messages qui passent des uns aux autres, conservées ou modifiées, elles circulent. Et ce seul mouvement, comme celui des vagues, suffit à nous faire exister... malgré les disparitions.
Merci Alain Poisson d'aborder ce sujet grave et révélateur.

Le fondu au noir arrive, prévu, plus ou moins pressenti, quelquefois, souvent à la fin du film parenthèse. Commence alors le générique de fin, les noms des protagonistes, acteurs, techniciens et pour terminer les remerciements sincères et/ou commerciaux.
Il y a de ça ici, qui m'est arrivé "par hasard" -rien de conceptuel là-dedans- alors que http://alpo66.blogspot.fr/2014/01/les-photogrammes-incertains-numero-zero.html me faisait faire un nouveau saut dans le temps, en arrière.
Que l'on filme ou que l'on photographie, c'est toujours la mort qui s'imprime.

Bonjour,

Un fondu au noir qui se voudrait métaphorique. Une vie qui décline, un jour qui disparaît... Assurément une image crépusculaire...

Bien à vous.

C’est du 36 X 24 ?
;)

Hélène, je ne cherche pas la guerre. Ni celle-là, ni une quelconque autre. L'incident est clos.
Je disais "courrais" pour exprimer un conditionnel, donc un souhait soumis à conditions, et non pas un futur certain.
Partager... une belle histoire. Le photographe fait sa photographie, c'est sa pratique à lui. S'il n'est pas salarié de la chose, seule l'ennui du reste (c'est dommage) ou l'absolue nécessité l'ont conduit à cette pratique. Éventuellement il montre (il peut aussi chercher à montrer à tout prix) à peu de proches, à beaucoup d'inconnus qui lui renvoient ensuite, ou pas, ce qu'ils en "pensent". Ça ne changera pas son activité (bien que sa pratique et sa vision soit plus ou moins influencées par tout ce qu'il a vu de photographique auparavant). Alors le partage... je suis sceptique. J'ai toujours été surpris que c'était celui qui montrait qui remerciait, alors qu'il me semblerait plus juste que ce soit celui qui regarde qui remercie l'autre de lui faire voir.
Bref. Sinon beaucoup de tes photographies m'intéressent et je te remercie de les proposer à la lecture.

Oui bien sur Alain tu ne te prends que pour ce que tu es bien évidement enfin je l’espère , certains ne peuvent pas être autrement de ce qu'ils sont, sauf c'est pas le contenu qui fait défaut , loin de là, c'est la forme !

Et je ne sais pas comment tu peux dire que je courais ,"au futur" d'une pseudo célébrité . je ne cours après rien sauf peut être à partager ce qui me passionne, l'amour de la photo et de le partager .

Tu sais très bien Hélène que je ne me prends que pour moi (et encore), que je ne cherche rien d'une pseudo célébrité après laquelle tu courrais sans vergogne. Alors je remets, à ma façon les choses en place, à leurs justes valeurs, photographies et commentaires. Tu peux prendre ce qui te revient de droit. Et d'autres aussi, chacun peut se servir.

C'est vrai Hélène! on ne peut pas tous "être sur le même barreau d'une échelle". Les escabeaux ça sert aussi ou les tabourets, pourquoi pas une pierre? ;o))

Quand certains se prennent pour Roland Barthes en faisant le détour pas Lacan on aurait envie d'y croire ,il manque la classe .

Si la culture c'était comme la confiture....... Je vous jure qu' j'en achèterais des pots au supermarché du coin.......... Mais merde c'est pas commercialisé de la même façon.
Faut pas avoir que du fric.... cela serait top facile. . Faut des mélanges bien particuliers. Et .. la culture est contaminée par les influences à la mode. Ohhhhhhh Rien n'est simple TOUT est à inventer toujours...... On peut en crever.

*mals *quel

Mon com' n'est pas passé apparemment. Comme quoi, les connections se font mal entre nous très cher (vu que nous sommes intimes). Donc je disais: Quelle niveau intellectuel! Je m'incline! Mes respects! (Je pourrais rajouter: la culture, c'est comme la confiture, mais ça serait trop)

Mr Poisson vous jouez........... à nous entortiller.

Benji m'interpellant dans les Blablas, je lui réponds à ma manière que cette "image" est le support, d'un point de vue linguistique, d'un signifiant qui précède une approche du signifié, du sens que l'on peut attribuer à ce moment-là, à cette représentation.
C'est vrai que cette approche où le signifiant (image représentée) précède forcément le signifié (idée concept) est plus une vision lacanienne de la "chose... mais bon, pour une fois.
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En réalité, cette photographie est grave pour moi et aucunement "trop drôle".

Au delà de l'originalité de l'envoie quand ça arrive sur un négatif surtout en 36 poses on n'est pas très heureux voir pas content du tout,j'espere que cela ne vous aie pas arrivé !

Ben .... ou incompréhension..... de certains. La dépression est le monde de l'incompréhension des autres et surtout de Soi.... d'où création ... on cherche.....

Une explication : Au cinéma, un fondu est une transition entre deux plans, deux images.
D'autres pistes sont possibles, films, chanson.

Si ça Soulages... -)

Minimalisme ou dépression?

Encadrer film'nalement l'imagination.... à venir? Pourquoi pas? y'a besoin de certaines combinaisons. Moi je ne sais que raconter c'que les autres ne comprendront pas et que certains digèrent : mal.
Chacun ses défauts...... . juste qu'il faut des moyens de s'entendre tout de "m'aime"
Et ce film visionne le bon de certains ..... comme le très mauvais d'autres. .

Et ....Alors..? Aurions nous finalement chacun sa couleur? On s'exprime autrement. On essaie la différence . Notre lumière est jaune , blanche, bleue....... ou NOIRE. Si le film tourne encore....... c'est qu'il a encore du souffffle.
Mais ....... je sais........ je ne raconte que mon histoire et devine un peu celle des autres
sans la comprendre comme vous ne décodez pas celle d'un autre.
Chacun peut partager son FILM.

On appelle ça aussi broyer du noir. Mais en tout cas, c'est pas la nuit américaine !

Avec Editing, ça fait avant-après.

Non, l'attente d'image plutôt.
J'ai hâte d'avoir l'explication d'Alain Poisson.

Images latentes? ;)

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